Le vagabond de Tokyo - Résidence Dokudami T.6Dans un style graphique fluide, les histoires de ce volume de +400 pages se dévorent les unes après les autres. Fukutani s'amuse à y parodier les films de yakuzas et les shonen manga de l'époque, tout en posant un regard lucide et critique sur la société japonaise, à travers des héros déchus qui tentent de survivre dans une société où ceux qui n'ont pas réussi sont méprisés et bannis d'une société qui consomme pour ne pas se voir en face. |
| | Le vagabond de Tokyo - Résidence Dokudami T.5L'infatigable Yoshio n'a rien perdu de sa vigueur ni de sa faculté à attirer les ennuis malgré lui.
Dans ce cinquième volume, il s'essaiera au « telekura », téléphone rose à la japonaise, sympathisera avec un mystérieux SDF, jouera les écrivains maudits lors d'un séjour dans une source thermale, et ira jusqu'à s'improviser acteur dans un film porno avec un partenaire pour le moins inattendu... |
| | Le vagabond de Tokyo - Résidence Dokudami T.4Suite des aventures de Yoshio Hori, le loser le plus attachant de Tôkyô. Ce quatrième volume sera placé sous le signe de l'action et du mystère: Yoshio se retrouve mêlé bien malgré lui à des histoires de détectives et de yakuzas dont il ne sortira pas indemne. L'humour, déjà très présent dans les précédents volumes de la série, est toujours au rendez-vous de ces nouvelles mésaventures de Yoshio le vagabond, et ce pour le plus grand plaisir du lecteur. |
| | Le vagabond de Tokyo - Résidence Dokudami T.2Yoshio Hori a : 22 ans et pas de chance, un poil dans la main donc pas de job, beaucoup de fantasmes mais pas de nana. Il s'obstine pourtant à vivre dans sa chambre crasseuse de la bien-nommée résidence Dokudami —Dokudami signifie mauvaise graine en japonais.
Le Vagabond de Tokyo livre le portrait plein d'humour de ce loser errant de déboires en déboires. Au fil de ses rencontres toute la population des bas-fonds de Tokyo se découvre, ridicule, mesquine, attendrissante. Yoshio le malchanceux se retrouve ainsi aux prises avec de plantureuses créatures, de moins plantureuses, des vendeurs de nouilles ambulants, des yakuzas et même des travestis... |
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